Certains PowerPoint commencent par un enchaînement de circonstances improbables. Il y a quelque temps on m’a demandé de faire un topo (que finalement je n’ai jamais fait faute de temps), sur les stéréotypes de pathologies neurologiques ou psychiatriques à travers des personnages de fiction. L’idée était que pour mémoriser les syndromes, il était plus facile d’avoir une image, même caricaturale, qu’un discours ; un moyen mnémotechnique visuel en quelque sorte.
De façon totalement indépendante, je suis un patient qui est parkinsonien et qui a un fils épileptique. Les deux sont pleins d’humour, vont très bien avec leur traitement, et en ont ras le bol d’être regardés avec compassion par leur entourage. Ils m’ont demandé s’il existait un livre où un film, dont les héros, tout en étant malades, pouvaient avoir à la fois un rôle positif et humoristique. Pour tout vous dire, je n’en connais pas.
Troisième élément de ce concours de circonstances, en discutant un jour du Rocky Horror Picture Show (RHPS), film dont je suis fan et qui est quelque chose de si improbable qu’il est difficile de le résumer, un pote m’a demandé de quoi les personnages entaient atteints, et qu’est-ce que je ferais si je les voyais en consultation.